Tendance sociétale de fond, la #gamification marque des points dans le monde de la formation ou du management. Dans la com’ et le marketing, le jeu permet d’interpeller le public et d’améliorer son niveau d’engagement. En investissant ce terrain, vous l’aurez compris, on a tout à gagner 🙂
Assez peu présents sur le marché, ils occupent en revanche une large place dans les journaux. De qui parle-t-on ? Des objets connectés bien sûr ! Nous sommes en plein dans la bulle IoT. Bientôt le marché se stabilisera et la communication, comme d’autres métiers, pourra pleinement s’en emparer pour servir sa cause.
La technologie est parfois regardée avec condescendance. Elle ne serait que la mise en œuvre pratique de grandes stratégies élaborées par de brillants cerveaux 😉 Pourtant elle est aujourd’hui davantage qu’un simple outil, vu le degré de sophistication de notre société. Elle est d’ailleurs elle-même génératrice d’innovation.
Quand j’ai commencé en juillet ce petit bavardage sur les innovations en communication, je ne pensais pas me lancer dans une telle affaire ! Et pourtant c’est évident : une question aussi vaste est plus digne d’un sujet de thèse que d’un post de blog amateur Pas grave, je continue avec aujourd’hui quelques réflexions sur les usages.
Comme le monde auquel elle s’adresse, la communication se métamorphose à vitesse grand V. Alors on innove sans relâche puisqu’une com’ juste « décalée » ne suffit plus à marquer les esprits. Mais le temps passe vite et certaines de nos idées géniales ont déjà un peu perdu de leur jeunesse. Ca vous fait penser à quelque chose ?
Ils sont à la mode et terriblement galvaudés, mon défi ce matin est de les additionner. Communication et innovation : vous conviendrez que ce duo de mots fait craindre le pire ! Mais soyons téméraires et voyons si ce mix ne peut pas donner quelque chose quand même.
Une marque peut mesurer l’impact de son relationnel avec un réseau d’influenceurs : l’étude publiée par l’agence Augure la semaine dernière en atteste. Mais quand on parle de communication de manière plus globale, jusqu’où peut-on aller dans la mesure ?
Ficelle universelle des publicitaires, l’évocation d’un ailleurs fonctionne toujours. Pourtant le public, plus informé que jamais, peut facilement s’apercevoir qu’il n’y a pas forcément ailleurs mieux que chez soi. Tant pis pour le marketing territorial (et parfois tant mieux).
Un dernier post sur le naming suite à une fusion. Promis, après j’arrête ! Nous avions passé en revue la formule souvent idéale du nom « from scratch », le choix plus ou moins heureux d’acronymes, ou la méthode radicale d’un nom supplantant tous les autres par son implacable hégémonie. Il restait donc encore un cas de figure, et pas le moins pratiqué : l’addition pure et simple de 2 noms… Allez, c’est parti 🙂
Le nom ex nihilo a ses vertus, mais les directions générales auront parfois plutôt un faible pour les acronymes. Suite à une fusion ou une acquisition, une autre alternative –relativement radicale– pourra être de généraliser l’usage d’une marque-phare du portefeuille. C’est ce qu’illustre l’actualité de ce jour chez Suez Environnement.