Un dernier post sur le naming suite à une fusion. Promis, après j’arrête ! Nous avions passé en revue la formule souvent idéale du nom « from scratch », le choix plus ou moins heureux d’acronymes, ou la méthode radicale d’un nom supplantant tous les autres par son implacable hégémonie. Il restait donc encore un cas de figure, et pas le moins pratiqué : l’addition pure et simple de 2 noms… Allez, c’est parti 🙂
Le nom ex nihilo a ses vertus, mais les directions générales auront parfois plutôt un faible pour les acronymes. Suite à une fusion ou une acquisition, une autre alternative –relativement radicale– pourra être de généraliser l’usage d’une marque-phare du portefeuille. C’est ce qu’illustre l’actualité de ce jour chez Suez Environnement.
En cas de fusion, le choix du nouveau nom à adopter est souvent une question éminemment épineuse. Cet acte de communication peut en dire assez long sur la stratégie qui sous-tend l’opération. Mais tout de même… pourquoi tant de polémiques ? Après tout, ce n’est qu’un nom !