Comme le monde auquel elle s’adresse, la communication se métamorphose à vitesse grand V. Alors on innove sans relâche puisqu’une com’ juste « décalée » ne suffit plus à marquer les esprits. Mais le temps passe vite et certaines de nos idées géniales ont déjà un peu perdu de leur jeunesse. Ca vous fait penser à quelque chose ?
Ils sont à la mode et terriblement galvaudés, mon défi ce matin est de les additionner. Communication et innovation : vous conviendrez que ce duo de mots fait craindre le pire ! Mais soyons téméraires et voyons si ce mix ne peut pas donner quelque chose quand même.
Une marque peut mesurer l’impact de son relationnel avec un réseau d’influenceurs : l’étude publiée par l’agence Augure la semaine dernière en atteste. Mais quand on parle de communication de manière plus globale, jusqu’où peut-on aller dans la mesure ?
Ficelle universelle des publicitaires, l’évocation d’un ailleurs fonctionne toujours. Pourtant le public, plus informé que jamais, peut facilement s’apercevoir qu’il n’y a pas forcément ailleurs mieux que chez soi. Tant pis pour le marketing territorial (et parfois tant mieux).
Un dernier post sur le naming suite à une fusion. Promis, après j’arrête ! Nous avions passé en revue la formule souvent idéale du nom « from scratch », le choix plus ou moins heureux d’acronymes, ou la méthode radicale d’un nom supplantant tous les autres par son implacable hégémonie. Il restait donc encore un cas de figure, et pas le moins pratiqué : l’addition pure et simple de 2 noms… Allez, c’est parti 🙂
Le nom ex nihilo a ses vertus, mais les directions générales auront parfois plutôt un faible pour les acronymes. Suite à une fusion ou une acquisition, une autre alternative –relativement radicale– pourra être de généraliser l’usage d’une marque-phare du portefeuille. C’est ce qu’illustre l’actualité de ce jour chez Suez Environnement.
En cas de fusion, le choix du nouveau nom à adopter est souvent une question éminemment épineuse. Cet acte de communication peut en dire assez long sur la stratégie qui sous-tend l’opération. Mais tout de même… pourquoi tant de polémiques ? Après tout, ce n’est qu’un nom !
Une étude publiée par l’académie des sciences des Etats-Unis vient d’établir un classement des langues les plus joyeuses. Si vous avez un projet de communication internationale amusante et enthousiaste, cette information vous sera d’une grande utilité. Sinon, c’est aussi l’occasion de se demander quelle langue est la plus parlée, ou la plus internationale ?
Le communicant serait-il un incompris… Ce serait un comble ! Et pourtant cette hypothèse n’est pas complètement incongrue tellement le dircom doit sans cesse expliquer le pourquoi -voire le comment- de son action. Et oui, la communication, c’est devenu complexe et a priori cela ne va pas s’arranger !